Laëtitia Huké

Nom : Huké

Prénom : Laëtitia

Code : Validés par Dave

Age : 17 ans

Sexe : Féminin

Origine/Nationalité: Japonaise et Anglaise

Groupe sanguin : A+

Lieu de naissance: Londres, en Angleterre

Description physique :
Laëtitia…Voila une jeune fille intéressante à décrire. Non, je plaisante.
Que dire sur la petite ?...
Tout d’abord, Laëtitia n’est pas ce qu’on appelle un modèle réduit. Non plus un semi nain (Mon dieu ça doit être petit !). Non, juste une fille normalement constituer, mesurant approximativement 1m71 pour un poids de, à peut près toujours, 53 kg. Oui elle est mince, maigrichonne dit-on même, mais que voulez vous, c’est comme ça ! Tout simplement, on a l’impression qu’il suffirait de la faire tomber doucement par terre pour la voir finir en mille morceaux. Mais ne la juger pas trop vite non plus…
Passons ensuite à son visage. Elle possède un visage fin, un peu rond au niveau des joues mais très légèrement. Sa peau est lisse et claire, presque blanche. A l’origine, elle était légèrement teintée, mais après ses multiples enfermement dans divers placards ou salles étranges, son teint a perdu ses pigments et elle est devenu blanche, et le pire c’est que cela lui plait ! Passons…Sur son visage pâle ressort deux grands yeux d’une jolie couleur, le bleu claire, presque comme le ciel. Ses grands yeux, a nouveau remplit d’une étincelle (De méchanceté ou de vie ? A vous de voir…), brille au soleil comme des étoiles, et cette particularité elle le tiens de sa mère, qui avait des jolies yeux bleu comme les siens. Un nez comme les autres (Je vais pas le décrire, oh !), et une bouche légèrement rose qui dessine des sourires (machiavélique ?...) sur son visage. Rajoutez a cela des chtites n’oreilles percés (Il était temps !) de chaque côté, et vous obtenez son visage.
Ensuite, ses cheveux… Laëtitia avait, pendant une période, des cheveux court, très court. Depuis environs deux ans (heureusement), ceux-ci on poussé pour atteindre une longueur acceptable dirons nous ; ils arrivent au milieu du dos a peut près. Souvent ébouriffés, la franche partant un peu sur le côté, ils sont maintenant tout noir, un joli noir corbeau. Car oui, Laëtitia, la « pro » de la teinture, s’amusait depuis ses 11-12 ans à les teindre dans toutes les couleurs de l’arc-en-ciel ! Blonde, rousse, bleu, blanc, rose, même vert pour rigoler, et violet ! Et, après une longue enquête, Laëtitia était…Blonde d’origine !...Non je plaisante, elle était châtains claire. Petite particularité, elle ne les attaches jamais, a part quand cela la gène quand elle cour.
Tout simplement, Laëtitia est…Unique ?

Style vestimentaire :
A la base, Laëtitia ne portait jamais de couleurs (Voyons, c’est trop flash !), mais comme on dit, les temps changent et Laëtitia aussi.
Bien évidement, elle porte toujours des vêtements usés (Comme des jeans troués, des tee-shirt qui ont l’impression de sortir d’un moulinet, des jupes en lambeaux…Non je déconne pour les jupes), des vêtements un peu trop grands (ceux qu’elle emprunte à des mecs, ou même des nana, qui lui arrive au genoux, des baggys qu’elle doit porter avec des bretelles pour ne pas qu’il tombe, des pulls qui s’étendent a perpette…), des vêtements qui ne lui appartiennent pas (Lisez plus haut)…Mais, en contre partit, elle rajoute des couleurs ! Et oui, vous avez bien lu, des couleurs. Non non elle n’est pas devenue daltonienne, elle a…grandit ?
Donc, elle mélange des couleurs avec le noir, comme le rouge, le rose, le vert, le violet…Toujours en restant un peu sobre. Mais elle favorise le rouge et le vert, car elle trouve que cela s’accorde bien ensemble (Laëtis qui prend soin de son apparence ?...Oui vous pouvez rire). Bien entendu, il lui arrive de s’habiller normalement, c'est-à-dire avec des pantalons, des tee-shirt, chemises (Ui ui chemise, vous avez bien lu), jupes et robes. Et oui, Laëtitia est devenue presque féminine, même si elle fait toujours penser à une Yankee quand elle marche.
On ne peut pas tout avoir.

Caractère :
Laëtitia était, et est toujours, une grosse déconneuse qui adore rire et faire des blagues. Un peu beaucoup folle sur les bords, il lui arrive souvent d’exploser de rire pour un oui, pour un non, et même pour un rien. Elle sourit assez souvent (Cela dépend de ses humeurs, lisez plus bas), même si certain de ses sourire faire penser a une Yankee qui a repérer une nouvelle proie a martyriser. Mais, bien sur, il y a des fois où ses sourires sont des vrais sourires, on va dire « normaux » pour une fille « normale ». Elle adore déconner, faire la débile, en poussant parfois les choses un peu loin (Mais cela arrive de moins en moins souvent). Elle ne tient pas en place, d’un coup, elle peut avoir envie de partir courir, d’un coup elle peut avoir envie de vous sautez dessus pour faire une mauvaise blague (Ou peut être est-ce un geste d’affection ?...). Mais, pourtant, elle a pas mal de passage « a vide », plus communément appeler « déprime ».
Dans ses moments là, elle s’énerve très vite, elle hurle, elle frappe, et elle est très susceptible. Elle n’a jamais peur de se battre, même si c’est une fille, elle ne se démonte jamais, quitte a en prendre plein dans la figure. Elle envoie chier tout le monde, même les personnes les plus proches d’elle, elle s’enferme dans des coins sombres ou alors dans un endroit désert pour réfléchir. Il lui arrive de perdre la tête et d’agresser tout le monde, mais maintenant sa conscience la retient toujours a 90%. Mais, quand elle ne se retient pas, elle envoie les gens dans les murs, par la fenêtre, et elle développe un côté encore plus sadique que quand elle est de bonne humeur. C’est dans ces moments là où il faut absolument l’éviter, si vous tenez a la vie. Bien sur, dans ses moments là, elle peut se transformer en un monstre sadique assoiffée de sang ou en une fontaine qui vous inondera, c’est au choix…
Elle a aussi ses moments où elle « glande », elle ne fait rien, et elle passe sa journée devant un livre, au lit, la musique dans les oreilles, et où la seule idée de sortir dehors la rend grognon. Pire qu’un mec, cette fille…
Vous l’aurez comprit, notre Laëti est lunatique, mais attachante, non ?
-Sociabilité : Sociable quand elle vous apprécie, si elle peut pas vous sentir…Fuyez, vite.

Aime pas:
-Son père
-Son passé
-Les gens qu’elle considère comme « cons »
-Les gens qui la cherche de trop près
-Ne pas bien dormir (Ou en pas dormir tout court)
-Ne pas faire ce qu’elle veut (Dans la limite du possible)
-La bouffe de cantine, en boite, en conserve (Comment ça, c’est pareil ?)
-Ceux qui juge sans connaître
-Les profs qu’elle qualifient de « cons »
-Les règles (Elle essaye de les respecter pourtant, je vous le jure !)
-Les hypocrites
-Toi xD
-Les foules dans des endroits trop petits

Aime :
-Ses amis (Oui elle en a !)
-La nourriture (Morfale va)
-Mais surtout le chocolat !
-Dormir (N’importe où mais dans un lit de préférence)
-Les peluches (Et ui)
-Se balader, surtout quand elle est en colère
-Rire, déconner, faire des blagues
-D’autres personnes (Pas forcément des amis)
-Les profs sympathiques ;P
-Ceux qui ne la cherche pas
-La musique
-L’automne (Vive Halloween)
-Et surtout, sa mère

Histoire:
Quoi ? Vous ne connaissez pas la fabuleuse histoire de Laëtis ?
Alors laissez moi vous racontez tout cela, vous qui passez ici, vous qui ne savez pas quoi faire de votre week-end pour rôder ici…
Tout d’abord, Laëtitia était une jeune fille et une enfant comme toute les autres. On ne connaît pas grand-chose sur elle entre sa naissance et ses 11 ans (A par dans les dossiers de l’école, passons), et c’est peut être pendant cette période que sa vie a été plus qu’horrible…Nous ne saurons peut être jamais d’ailleurs…Passons donc
Nous faisons un saut jusqu’à ses 10-11 ans.
C’était un matin, semblable a tant d’autre, a tant de matin qu’elle avait connu dans sa petite vie. Laëtitia était fille unique, et elle vivait avec sa mère et son père. C’était, apparemment, l’amour fous entre les deux parents, depuis sa naissance, et devant tout autre personne c’était la famille idéale qui chouchoutait leur fille unique. C’était le cas de sa mère, qui aimait Laëtitia comme une folle, et elle ne voulait pas être séparée de sa fille pour rien au monde. Elle allait à l’école, elle ramenait des fois des amies, qui avait l’air aussi normal qu’elle. Elle avait même une meilleure amie, presque comme une sœur, toujours bien accueillit. C’était avant. Cela allait faire quelques mois que ses parents s’enfermaient de plus en plus souvent, que des disputes s’élevait de l’étage du haut, et Laëtitia devait se débrouiller de plus en plus souvent, car elle ne les voyait plus souvent. Quand ils étaient là, sa mère avait l’air ailleurs, mais dès qu’elle regardait sa fille, un sourire illuminait son visage. Son père, à l’inverse, râlait de plus en plus souvent contre Laëtitia et sa mère. Mais l’habitude avait laissé place à tout ça, et Laëtitia ne s’en inquiétait même plus. Jusqu’à ce fameux jour…
Ce matin là, donc, elle regardait la télé. Ses dessins animés préférés, comme elle disait souvent. Il était 11h passé, et elle commençait à avoir faim. Sa mère avait promit de l’emmener au restaurant, aujourd’hui…C’était son anniversaire. 11 ans, ce n’était pas rien ! Laëtitia rêvassait, assise sur le canapé qui avant était occupé par elle, son père et sa mère, comme une famille normale. Mais cela faisait longtemps que ce n’était plus arriver. Elle fixait l’heure, sans ciller. Elle était née exactement à 12h00, et son ventre criait famine d’ailleurs. 11h35…Elle se mit à entendre des bruits de disputes au dessus d’elle, à l’étage du dessus. Elle n’y prêta qu’une oreille légère, comme d’habitude. A la télé, des enfants jouaient en se lançant une balle…En haut, des pas, des cris, et maintenant, des bruits sourds comme si des objets lourds tombaient sur le sol après avoir été lancés. Elle commençait quand même à s’inquiéter, jamais encore ils s’étaient lancés des objets. Elle replia ses jambes contre elle, et les entoura des ses bras, comme pour se rappeler de l’étreinte de sa mère quand elle avait peur après un cauchemar. Elle replongea son regard dans le dessin animé, mais elle entendit à nouveau un bruit sourd.
Plus lourd que les autre. Boum.
Elle se mit debout, vite, un peu tendue. Elle ouvrit la porte et monta les escaliers.
Première marche. Elle entendait les cris et les coups plus fort. Deuxième pas. Elle entendit un cri de sa mère, et son prénom, Laëtitia. Troisième pas, quatrième…Plus elle s’approchait, plus la peur lui tordait le ventre, comme une nausée insupportable, et les cris, les coups lui crevait les tympans. Elle avait plus que peur, c’était une enfant terrifiée comme pendant ses cauchemars. Elle arriva devant la porte de leur chambre, elle était entre ouverte. Elle s’approcha, et le rayon de lumière qui passait l’aveuglait dans l’obscurité des escaliers. Elle s’accroupit, et s’approcha de l’entre bâillement de la porte. Elle vit sa mère, par terre, en crachant du sang, et son père qui hurlait contre elle en la frappant comme un fou. Ses yeux étaient remplit de haine, et sa mère hurlait d’arrêter, qu’elle avait mal, mais il continuait à la frapper sans émotions sur son visage. Laëtitia avait envie de vomir, et elle se cogna contre la porte qui s’ouvrit en grand. Son père s’arrêta, vit Laëtitia presque étalée sur le sol, tremblante, et sa mère la fixa. Puis, son père fit un mouvement vers sa poche, sa mère hurla à Laëtitia de fuir, vite, et Laëtitia leva les yeux vers eux.
Pan.
Son père avait tiré sur sa mère, en pleine tête. Le sang avait giclé dans toute la chambre blanche, et Laëtitia en était couverte un peu, elle aussi. A genoux devant la porte, elle était devenue blanche, presque transparente. Sa mère gisait morte, au sol, la tête explosée par le coup de feu. Son père tenait toujours le flingue dans sa main, l’air ailleurs, puis il fixa Laëtitia d’un œil mauvais. Trou noir.
A son réveil, la police était là, avertit par les voisins qui avaient entendu le coup de feu. Ils arrivèrent sur les lieux, c’était sinistre et terrible à voir. Du sang partout, partout, un corps sans vie…Et une gamine, mi-assise et mi allongée sur le lit de ses parents, couverte de ce sang sale qui était partout autour d‘eux. A la main, un flingue, pointé dans sa bouche, prête à appuyer sur la détente. C’est ainsi qu’ils retrouvèrent Laëtitia, complètement perdue et sur le point de mettre fin a cette existence. C’est à partir de ce jour que Laëtis prit conscience de la vie qu’elle avait menée et de celle qu’elle mènerait.
« La pauvre…C’était son anniversaire… »
Alors, quand pourra-t-elle aller au restaurant avec sa maman ? C‘était finit, finit…
Bonne Anniversaire.

Sa vie ensuite ne fut qu’une suite d’événement aussi pénible et horrible que celui de ses 11 ans, en moins grave peut être. Elle vivait pour un seul sentiment : La haine. Envers son père, la police incapable de faire quoi que ce soit, les gens qui la regardait de haut a cause de ses malheurs, les autres, bref, tout ce qui concernait l’humanité finalement. Elle fut prise en charge par un Orphelinat qui accepta enfin son « cas », oui, Laëtis était devenu un simple numéro de dossier, un « cas » comme on dit. L’école elle-même ne voulait plus d’elle, ses amis la laissait tomber car ce n’était pas « Convenable de la fréquenter » a présent. Mais les gens de l’Orphelinat commençaient à avoir peur de Laëtis ; elle sortait quand elle voulait, où elle voulait mais personne ne savait où exactement. Sa vie se résumait à la rue, et à effrayer les gens, les passants qui ne la jugeaient que sur son apparence. Froide, elle était devenue froide. 2 mois, elle n’a tenu que 2 mois dans cette Orphelinat. Heureusement (Pour eux), une famille de riche, enfin plutôt bourgeois, a décidée de l’adoptée. Grosse, très grosse erreur, surtout que les parents s’étaient persuadés de donner une éducation convenable à Laëtitia pour qu’elle revienne dans le « droit chemin ». Mais, comme elle aurait dit, le monde ne possède que des chemins tordus, et bien sur, leur vaine tentative ne marcha pas. Au bout de 2 semaines, elle ne tenait plus, et elle mit le feu à la maison de cette famille qui l’avait pourtant recueillit, certes pour de mauvaises raisons (Ils voulaient se gratifier d’une gloire comme quoi il pouvait s’occuper d’enfants « difficiles »), et dont les enfants fuyait Laëtitia plus qu’autre chose. De toute façon, ses deux semaines, elle les passait en dehors, comme à l’Orphelinat, et parfois elle ne revenait pas pendant deux jours. Elle finit par craquer suite a certaines propos de la famille et certaines actions de leur part qu’elle n’avait jamais avouée, et qu’elle ne dira peut être jamais. Le feu a ruinée la maison, et cela n’est pas le plus horrible. La famille, elle, était encore à l’intérieur. Et Laëtitia, hilare, regardait le feu prendre en puissance. Mais, la famille s’en sortit, heureusement pour eux, vivant et indemnes. Bien évidemment, tous savaient que Laëtitia était la coupable, mais la peur suffit à les faire taire, et les preuves auraient de toute façon manqués. Elle avait encore que 11 ans.
Elle retourna à l’Orphelinat, mais un différent que le premier. Eux, ils ne s’occupaient pas d’elle. Les pensionnaires ne la fuyaient pas ; ils l’ignoraient. Elle avait enfin la paix qu’elle voulait depuis. Si elle ne rentrait pas pendant deux, trois jours, personnes ne s’inquiétait, et sa chambre l’attendait, ainsi que le repas, c’est tout. Cela dura plusieurs longues années. A 12 ans, elle faillit tuer sa propre meilleure amie, qui l’avait laissée tomber, en se joignant à ceux qui méprisaient et attaquaient Laëtitia. Elle (Laëtitia) l’avait tant frappée que sa meilleure amie avait finit à l’hôpital, coma durant 3 mois. Mais personne n’avait rien vu, car ils tenaient tous à leur peau, bien sur. Suite à cela, Laëtitia fit une tentative de suicide, raté bien sur. Elle s’était jetée sous un camion qui à réussit à l’éviter. L’homme l’a conduit a l’hôpital, mais après, il disparu mystérieusement. C’était la première personne à avoir aidée Laëtitia. Rien que pour cela, elle ne lui en a jamais voulu d’avoir disparu. Puis, peu a peu, elle se mit à fréquenter des gens « comme elle » ; des toxicos, des alcoolos, des enfants battus, maltraités, et qui avait subit toutes les horreurs des humains, qui sont cruels, à leurs yeux. Et elle finit par toucher à la drogue et à l’alcool. Oh, pas assez pour finir indépendante, mais ce n’était pas loin. Elle fit même des horreurs encore pires, mais elle ne l’avoua jamais. Elle fit, entre sa première tentative et ce moment là, en tout près de 5 tentatives de suicide, encore ratées. Ce fut la première fois qu’elle allait à Yonnin. Elle repartit, après que le Pensionnat fut en difficulté et qu’apparemment, elle avait « comprit la leçon, jeune fille ». Et, son père, cette…Cette chose avait enfin été arrêté, et son dernier vœux était de voir sa fille. Elle accepta, pourquoi ?...Peut être qu’elle voulait enfin mettre fin a cette histoire…C’était le seul moyen.
Mais tout ce passa très mal. Il lui avoua pourquoi il avait fait ça, pourquoi il avait fait tout ça durant l’enfance de Laëtitia. Trop, c’était trop. Alors que les policiers les avaient laissés seuls, demande du père, sa fille le tua de sang froid, a main nu après l’avoir frappée comme une hystérique. Les policiers la retrouvèrent assise dans un coin sombre, repliée sur elle-même. Elle avait pleurée, oui, beaucoup même, mais elle souriait, comme ailleurs. Elle avait 16 ans. Elle fut renvoyée à Yonnin, pour encore quelques temps.
Et elle repartit. Sa vie était plus calme, ses tentatives étaient devenues presque inexistantes, mais pourtant, Laëtitia ne pus s’empêcher de faire des bêtises, a nouveau. Oh, moins grave bien sur. Elle vola, tout simplement, car elle avait besoin d’argent. Malheureusement, une bande, une de ces bandes de toxicos avec qui elle traînait, demandait l’argent qu’elle leur devait à cause de la drogue qu’elle avait achetés. C’était les vols, ou elle devenait leur jouet. Malheureusement, elle faillit se faire attraper une première fois, et elle y échappa de justesse. Mais, elle refusa de voler a nouveau, et elle finit par accepter, enfin, à être contrainte de prendre la deuxième option, et elle devient leur jouet. Cela ne dura pas longtemps, 2 à 3 mois, mais elle finit par se vendre à la police pour son vol et, enfin, elle retourna à Yonnin pour la troisième fois.
Le monde extérieur était trop cruel pour elle.

Crime: Trouble de la vie publique, meurtres, tentative multiple de suicide, pyromanie, consommation de drogue et d’alcool, a causer des trouble psychologiques chez certaines personnes, vols, et autres petits délits

ETUDE:

Point fort: Musique et Français (Et oui, c’est qu’elle lit la p’tite)
Point faible: Tout le reste !

[ I Come BaCk! x3 ]

YEAH TITIA DARLING ENFIN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! \o/

Ouaiiiis, come back, enfin !

J'ai tout lu ta longue et magnifique histoire ^^