Toujours à la page [libre]

Dix heures, les cloches se mirent en marche et leurs sons résonnèrent longuement dans mes oreilles ; Il faisait bon mais le soleil était caché par des nuages nous menaçant de cracher des larmes n’importe quand. Il était devant moi, tel une prison faites en papier, le pensionnat Yonnin m’ouvrait ses portes ; C’était un pensionnat pour jeunes délinquants. –Il faut tout de même le signaler- Pourtant je me sentais bien dans ce nouvel environnement et c’était toujours mieux que de rester affamée et indignée dans la rue ou je suis réstée pendant tant d’années. Qui comptait de changer du jour au lendemain ? Lorsque l’on à gouté au sang, une seule fois, il devient indébile sur nos mains innocentes ; Je ne me considérais plus comme meurtrière car ce meurtre n’était pas reconnu dans ce monde où chaque secondes un innocent perdait la vie. A quoi bon se morfondre sur mon sort alors que j’avais enfin la chance d’ètre logée ? Mise dans un pensionnat pour faits graves… De toute façon qui aurait accepté une telle élève dans son établissement. Imaginez qu’en ouvrant mon dossier la première chose visible était « Acte de prostitution. » ; Les yeux surpris, la bouche bée devant si peu de chose. Après tout quand on n’as besoin d’argent on ne choisit pas toujours le moyen d’arriver à ses fins.
Bref, tout ça pour dire que maintenant je recommençais à zero ; M’amuser dans ce pensionnat allait ètre très certainement le meilleur que je n’ai jamais joué jusqu’à ce jour ! Peut’ètre que j’allais trouver des jeunes garçons innocent tout aussi criminel que moi sans vraiment le vouloir… Ici, dans les pensionnat, il ne connaissait pas encore la fille de Kyubi. Mon cœur s’emplit de rage et de tristesse lorsque je repense à ce petit renardeaux ; Qu’avais-je bien put faire à cette époque pour mériter une telle sentence ?!

Mes cheveux noir était laché et retombait naturellement sur mes épaules, je regardais un peu de droite à gauche pour reussir à me situer dans ce nouvel établissement ; J’avais l’habitude des batiments délabrés et où le danger était partout. D’ailleurs j’avais toujours une arme sur moi, minimum un petit couteau sous mon manteau qui n’était pas, lui aussi, en très bon état. J’avais encore ma petite robe jaune, enfin, à forçe du temps passé dans la rue elle était devenue pâle et la couleur n’était plus très vive ; Elle devait m’arriver à dix centimètre de mes genoux et les manches retombaient de mes épaules comme les robe Espagnole. J’avais un sourire au lèvre et j’étais heureuse d’ètre arrivée dans le Pensionnat entière ; Même si j’avais dut payer à ma façon pour en arriver là !

* Je suis au moins sûre de bien me plaire ici, c’est tranquille pour l’instant mais je suis préssée de voir jusqu’où vas la folie des autres jeunes de cette pension ! *

Autour du cou je transportais mon appareil photo car, apparement, il serait possible d’integrer le S.u.s.h.i Times, le journal de l’école. Les ragots, les petites informations essentielles du pensionnat, les couples et tout le reste. Oui, j’allais vraiment me plaire.

La porte du pensionnat venait de s'ouvrir pour la deuxieme fois en peu de temps, mais cette fois c'est un jeune homme qui en passa le pas, cette personne etait assez grande, possedait un teint blanc et ses cheveux etaient couleurs de neige, ne faisant pas attention a la jeune fille deja sur les lieux, il continua d'avancer d'un pas sur, sachant deja ou il devait aller, mais il n'avanca pas bien longtemps, en effet le jeune homme alla regarder un tableau sur lequel etait inscrit l'attribution des dortoirs, et la horreur, il vit non seulement que le dortoir ou il serait etait deja plein, mais en plus, il ne serait qu'avec des filles, Are venait de comprendre pourquoi Dave etait considéré comme un directeur sadique, y avait que lui pour le foutre dans un dortoir avec uniquement des filles et cela notre heros le dit tout haut

-Dave tu me le paieras sa, j'espere au moins que mon lit est toujours a la meme place

L'adolescent avait dit ces motqs a haute voix, mais le pire c'est qu'il n'avait meme pas fait attention au fait qu'il pouvait y avoir quelqu'un dans cette piece. Tant pis c'etait trop tard, il reprit son avancée afin de poser ses affaires dans le dortoir qui lui etait assigné

Sans que j’ai le temps de faire quoi que ce soit, à part quelques pas, la porte s’ouvrit une nouvelle fois et un jeune garçon entra. Je restais sans bouger et il passa devant moi comme si je n’étais qu’un simple objet du décor… Frustrée mais habituée par ce genre de réaction je regarda le jeune aux cheveux blanc traverser le couloir pour se renseigner sur le tableau des chambres. J’avais été informée de mon dortoir, c’étais le deuxième mais je ne savais pas encore avec qui j’étais ; Après tout, cela m’importais peut puisque je m’entendais avec presque tout le monde. A part ceux qui ne pouvait pas me voir en peinture… Mon caractère assez spéciale est aimé ou détesté !

*Mais qu’est ce qu’il fait lui ?! Même pas un coup d’œil sur moi, tss...*

Dans la rue j’avais l’habitude ; « Bonjour, ça vas ? » était exclu, personne ne connaissait la politesse des grande personnes et c’était toujours : A chacun ses problèmes, chacun pour soi . Je ne bougais toujours pas face à cet inconnu aux regard assez froid et sur de lui. Une pensée m’effleura l’esprit, qu’avait’il bien put faire pour ètre transporter à Yonnin ? J’eu un petit sourire et je posa mon sac à dos sur le sol du grand Hall d’entrée.

« Hey ! »

Ma voix résonna un peu dans le long couloir, je venais d’appeler ce garçon aux yeux bleu pour savoir la cause de son indifférence. Il ne me connaissait pas et je ne voulai pas l’effrayer mais ma sociabilité prennais souvent le dessus. Je l’avais entendu soupirer des mots, Dave, j’avais déjà vu ce nom sur des papiers d’inscription ou quelques chose du genre… Ca devait ètre le Dirlo de ce Bahut. Je m’avança vers le garçon tout en regardant autour de moi, lorsque je fus assez proche de lui je souria simplement.

« On dirais que quelque chose ne vas pas, neeh ? Je suis Ren, nouvelle evidement et je suis dans le dortoir deux. »

Pour avouer, j’étais un peu sur la défensive interieurement car j’avais assez peur de me faire ramballer, je ne connaissais personne ni leur mentalité en général. Dans la rue on pouvait se faire violer, agresser ou caliner à chaque coin de rue après tout… Mon sourire resta comme figé sur mon visage et je regardais l’nconnu dans les yeux attendant une réponse

« Hey ! »

Arekisu venait d'entendre ce mot avec une violence assez comment dire, explicite, il se retourne et entends

« On dirais que quelque chose ne vas pas, neeh ? Je suis Ren, nouvelle evidement et je suis dans le dortoir deux. »

En entendant cela Are sut que cette jeune fille etait une de ses colocataires, il lui repondit donc directement

-Salut, bon bah moi c'est Arekisu, apparemment on est coloc's, bon je suppose que tu veux deposer tes affaires aux dortoirs, suis moi je te montre ou c'est

Et voila le jeune homme qui commence a avancer dans les couloirs, tranquillement, sur de lui, apres tout il a deja suivit cette route plusieurs fois, il continue d'avancer ne faisant pas attention si la jeune fille etait derriere lui ou non, et apres tout il s'en moquait, lui ce qui l'interessait c'etait d'aller poser ses affaires et pour le reste il verrait plus tard, il ne s'arreterai donc pour rien, il arriva enfin devant la porte du dortoir numero 2, il posa ses sacs et commenca a ouvrir la porte

Ren eut un regard assez mauvais, comme tout le monde le savait elle était mauvaise perdante, mais aussi très suceptible... Elle lacha son sac et se diriga d'un pied ferme vers le garçon; apareil photo à la main.
Il venait de passer deux fois à ses coté sans mème lui aposer un seul regard; Cela rendit la jeune fille hors d'elle et fut la cause de sa colère instantanée.

J'avais l'habitude qu'on me regarde sous tout les angles, qu'on me veuille tout de suite entre ses bras, ou ailleurs. Que l'on me demande si j'avais, oui ou non, un petit ami fixe; Si j'avais déja eut envie d'entrer dans des toillettes pour garçons...Bref, là, il n'y avait rien du tout. Ce garçon était froid et ne pensait mème pas à ce qu'il l'entourait alors ma rage s'accroissait de plus en plus.

Il avançait de pas ferme dans le couloir sans mème prendre l'attention de verifier si j'étais derrière lui. Prise d'une colère grandissante je l'attrapa par le col et je le tira vers moi dans un mouvement brusque et rapide. Que personne ne l'oublie; Je venais des rues et entant que prostitué j'avais apprit à me défendre au cas ou un client refuserait de payer ou deviendrait trop 'génant' pour moi.

La haine que j'épprouvait à cet instant était moindre par rapport au jour ou j'avais commismon crime mais l'idifférence d'un garçon face à ma petite personne devenait limite insultant... Je le retourna violement vers moi et je m'appretais à le frapper.

*Nan...Je vais pas déja commençer...Baka...*

La prénommée Ren venait d'attrapper Arekisu par le col, cette derniere etait prete a lui donner un coup de poing, mais elle s'arretta peu avant de frapper, le jeune homme encore serré par le col commencait a etouffer, il attrappa les mains de la jeune femme et lui fit lacher prise, et oui pas tres musclé mais costaud le Are, il se retourna ensuite et continua d'avancer dans le couloir, tout en avancant il dit a la jeune femme

-Viens je t'amene au dortoir ou on est logé, si tu me suit pas je part sans toi

Cette phrase avait été dite d'un ton froid, glacial meme, on reconnaissait l'indifference du jeune homme pour cette jeune fille qui en aurait intéressé plus d'un, mais notre heros lui s'en moque, il veut juste pouvoir rester tranquille, il est deja resté un an ici, il savait comment c'etait a l'interieur de ce pensionnat, il savait comment tenir et comment s'en sortir, il avait ses convictions et il s'y tenait, en tout cas il ne s'arretait pas d'avancer, sans jamais se retourner voir si la jeune femme le suivait